Description
Description (FR): La Fabrication Additive Métallique (FAM) est un secteur en très forte croissance. Les technologies d’aujourd’hui demandent une grande expertise et des investissements très importants (~1M€), ce qui freine l’adoption de ce procédé. Des procédés plus abordables sont donc demandés. De nouvelles technologies, basées sur la technologie MIM (Metal Injection Molding) permettent l’avènement de machines bien moins chères (120k€). L'objectif du projet est de développer un procédé dont l’investissement global est inférieur à 30k€, le rendant accessible aux TPE/PME et aux FabLabs. Pour passer du prototypage rapide à la fabrication additive, il faut être en mesure de prévoir les défauts dans les pièces et de maîtriser le procédé afin de prévoir les performances mécaniques des pièces produites. FabricAr3v répond à cette problématique par la conception d'un procédé « low-cost » ainsi que le développement et la validation des outils de simulation dédiés. Les compétences à mettre en œuvre sont variées, aussi la constitution d’un consortium transfrontalier est absolument nécessaire. Grâce à l’association avec Sirris, il est comparé aux procédés industriels existants. L’expertise du CRITT-MDTS sur le MIM permet de l’adapter à l’impression 3D. Enfin, des outils de dimensionnement des pièces qui sont adaptés aux procédés seront créés par la collaboration entre le CNRS, Centrale Lille et Cenaero. Une plate-forme de formation autour de cette technologie est par ailleurs développée. Toutefois, l’arrivée de machines permettant de copier à bas coût n’importe quelle structure métallique entraînera probablement une remise en cause de la propriété intellectuelle et industrielle. Il faut alors investiguer les modèles de protection compatibles avec cette évolution. Le projet bénéficie de l’expertise de l’Université de Mons, de l’Université de Lille et du CNRS.
Read more Description (EN): Metal Additive Manufacturing (MAF) is a very fast growing sector. Today's technologies require a great deal of expertise and very significant investments (~€1M), hindering the adoption of this process. More affordable processes are therefore required. New technologies, based on MIM (Metal Injection Moulding) technology, pave the way for the advent of much cheaper machines (€120k). The objective of the project is to develop a process with an overall investment of less than €30k, making it accessible to very small businesses and FabLabs. To switch from rapid prototyping to additive manufacturing, it is necessary to be able to predict defects in parts and control the process in order to predict the mechanical performance of the parts produced. FabricAr3v responds to this problem by designing a “low-cost” process and developing and validating dedicated simulation tools. The skills to be implemented are varied, making the formation of a cross-border consortium absolutely necessary. Thanks to the association with Sirris, it is compared to existing industrial processes. CRITT-MDTS' expertise in MIM allows it to be adapted for 3D printing. Finally, tools for dimensioning parts that are adapted to the processes will be created through collaboration between the CNRS, Centrale Lille and Cenaero. A training platform hinged around this technology is also being developed. However, the arrival of machines that make it possible to copy any metal structure at low cost will probably lead to a reconsideration of intellectual and industrial property. This renders it necessary to investigate the protection models that are compatible with this evolution. The project draws on the expertise of the University of Mons, the University of Lille and the CNRS.
Read more Description (NL): De additieve metaalfabricage is een heel snel groeiende sector. De huidige technologieën vergen veel expertise en aanzienlijke investeringen (~€ 1M), zodat dit procedé moeilijk ingeburgerd raakt. Er is dus vraag naar goedkopere procedés. Dankzij nieuwe technologieën, gebaseerd op de MIM-technologie (Metal Injection Molding), is de inzet van veel minder dure machines mogelijk (€ 120k). Het doel van het project is de ontwikkeling van een procedé waarvan de totale investering onder de € 30k ligt, zodat het toegankelijk is voor micro-ondernemingen en kmo’s, alsook voor FabLabs. Om van snelle prototypering naar additieve fabricage over te stappen, moet het mogelijk zijn defecten in onderdelen te voorspellen en het procedé te beheersen om de mechanische prestaties van de geproduceerde onderdelen te voorzien. FabricAr3v pakt dit probleem aan door het ontwerpen van een 'low cost' werkwijze en de ontwikkeling en validatie van speciale simulatietools. Hiervoor zijn uiteenlopende vaardigheden nodig en is de oprichting van een grensoverschrijdend consortium absoluut vereist. In samenwerking met Sirris kan men het procedé met de bestaande industriële benaderingen vergelijken. De expertise van CRITTMDTS in MIM maakt de aanpassing aan 3D printing mogelijk. Het CNRS, Centrale Lille en Cenaero zullen samen aan de procedés aangepaste tools voor de dimensionering van de onderdelen ontwikkelen. Er wordt ook een opleidingsplatform rond deze technologie opgezet. De komst van machines waarmee elke metalen structuur tegen een lage kostprijs kan worden gekopieerd, zal evenwel waarschijnlijk leiden tot problemen met de intellectuele en industriële eigendom. Er moet dus onderzoek worden gedaan naar beschermingsmodellen die compatibel zijn met deze evolutie. Het project wordt ondersteund door de expertise van de Université de Mons, de Université de Lille en het CNRS.
Read more Achievements (FR): Le projet FabricAr3v qui a débuté le 1er Juillet 2019 est un projet INTERREG visant à mettre au point une technologie d'impression 3D métallique Low cost. Fort d'un consortium transfrontalier multidisciplinaire le projet aborde une multitude de sujets allant de l'ingénierie mécanique à la simulation numérique et la Propriété Industrielle. Materalia a rejoint le consortium au 1er janvier 2020 en tant que responsable de la communication. Il a notamment effectué son premier événement avec les autres partenaires du projet lors de la journée de lancement à la haute école Robert Schuman à Arlon en Belgique. Materalia a oeuvré à l'élaboration du CDG du site internet pour le projet. Toujours dans une démarche visant à donner de la visibilité au projet, Materalia a mis en place des comptes sur les réseaux sociaux (Linkedin, Youtube). L'entreprise a également géré l'ensemble des sujets relatifs aux événements préparés dans le cadre du projet, à savoir le mailling, invitations billetterie etc... La conception d'une machine d'impression métal « low-cost » est bien avancée, les prototypes ont notamment été améliorés avec des structures « tool changer » permettant de faire de l'usinage multi matériaux et de la fabrication « hybride » (impression et usinage combinés au sein d'une seule machine). La cinématique de la machine est maîtrisée et les résultats obtenus, qui ont été comparés à ceux de la Pollen M (machine industrielle achetée dans le cadre du projet) sont encourageants et dans certains cas meilleurs. Les premiers travaux du CRITT MDTS ont permis de valider la faisabilité de l'impression de polymères chargé en zircone sur la free former, combinée aux phases de déliantage et frittage associées. Les caractérisation des pièces produite ont permis d'identifier les propriétés physico chimiques des pièces et de les comparer à celles obtenues en PIM. A l'issue d'essais préliminaires, le CRITT avait entamé des modification sur la machine direct 3D pour l'optimiser. Cependant nous avons identifier un problème majeur sur la direct 3D à savoir une mauvaise conception de la vis d'Archimède. Ce qui représente une entrave majeure à la maîtrise de l'extrusion et donc de la du bon déroulement des impressions d'un point de vue global. Pour aider les développements à venir au sein du consortium, Sirris avait entamé une veille tehcnologique qui comprend notamment une description du procédé, les forces et faiblesses, une comparaison avec la technologie développée dans le projet, les propriétés mécaniques couramment rencontrées dans la littérature et les différents fournisseurs de machine low-cost laser métallique. Le CRITT MDTS a réalisé des essais préliminaires de déliantage sous air qui ont présenté des résultats encourageants, l'objectif à poursuivre est de trouver le bon compromis entre une atmosphère de frittage bon marché et des propriétés mécaniques des pièces assez proches de celles issues des procédés existants. Le fours de déliantage et frittage Pyrox acheté par Centrale Lille a été receptionné cependant une avarie sur le four a empêché la poursuite des tests qui ont dû être transférés au CRITT. Parallèlement au travaux concernant l'impression 3d "classique" qui est déjà bien avancée, le développement de l'hybridation du procédé (impression / usinage) a continué avec le montage d'une broche d'usinage directement sur le prototype en lieu et place d'une tête d'impression. Concernant la simulation du procédé et caractérisation, une étude bibliographique menée par Cenaero sur la simulation numérique du procédé de frittage a permis de déterminer les fonctionnalités requises pour la modélisation du procédé. Ces fonctionnalités ont été intégrées dans le code de calcul d'éléments finis et ont permis d'obtenir des résultats numériques de référence. En comparant les simulations, des écarts ont été constatés et une analyse a permis d'apporter des corrections aux modèles et aux données. Bien que vérifications supplémentaires sont envisagées, le modèle donne qualitativement les bonnes tendances, autorisant dès lors la réalisation d'une étude de sensibilité. La densité initiale et la température de transition (paramètre du modèle de densification) sont les paramètres qui ont le plus d'impact sur la densification et le retrait lors du frittage. Cette étude précise aussi l'importance relative des données pertinentes (e.g. paramètres matériau, granulométrie des poudres, rétrécissement) pour les phases de calibration et de validation (i.e. numérique vs expérimental). Des approches simplifiées, moins coûteuses en termes de temps calcul qu'une modélisation thermomécanique transitoire non-linéaire, sont envisagées. Celles-ci s'inspirent des méthodes basées sur les déformations inhérentes, initialement développées pour le soudage, en exploitant les résultats du modèle transitoire non-linéaire. Une première analyse a révélé de potentielles limitations qu'il faudra essayer de surmonter. Les travaux de modélisation se basent sur la solution logicielle de Cenaero. L'exploitation des modèles et méthodologies dans des solutions logicielles tierces est envisagée. L'analyse qui avait été initiée devra être poursuivie après montée en maturité des modèles et des méthodologies. Lors du 5e semestre, une seconde étude bibliographique a été réalisée avec comme objectif l'extension du modèle pour prendre en compte l'anisotropie des déformations (phénomène observé par les partenaires du projet dans les essais expérimentaux) pendant le frittage. Les différentes causes de l'anisotropie ont été analysées. Une généralisation (prise en compte d'un contrainte de frittage non-hydrostatique) du modèle a été déterminée. L'achat d'une machine industrielle, prévu dans la fiche projet, l'Admaflex a été réalisée en début de projet. Cela a permis de nouer des contacts avec Isolectra-Martin qui est une entreprise intéressée par la fabrication additive. Une collaboration avec cette entreprise et le L2EP a donnée naissance à une thèse Cette derrnière est associée au projet et utilise les moyens développés dans le cadre de la plateforme industriel. L'achat d'autres machines, non prévu dans la fiche projet, une imprimante 3D à granulés la Pollen M et un four de déliantage et frittage thermique Pyrox, a été réalisée. Combinée à l'Admaflex Du projet Fabricar3v, ces machines viennent renforcer et participent fortement la mise en place de la plateforme industrielle « PIMS ». Cette plateforme, labellisée par l'université de Lille au semestre 4, a notamment été doté d'une machine d'impression 3D par electro spinning et d'un ingénieur d'exploitation ce semestre. La maquette d'un module d'enseignement proposée à Centrale Lille a donné lieu à la modification d'un module existant à centrale Lille (« Spécification de produits et fabrication ») pour compléter les objectifs du projet. En intégrant de nouvelles notions de fabrication additive dans l'apprentissage du processus global de conception et de fabrication de systèmes mécaniques, les modifications apportées à ce module permettent de renforcer les connaissances des élèves et de susciter leur intérêt pour pour ces procédés de fabrication émergents. Le module comporte notamment la fabrication et la conception d'une imprimante 3D par dépôt de fil. Dans le cadre du de l'étude de l'évolution de la propriété industrielle et intellectuelle (MT6), Les travaux de recherche menés par l'UMONS visent à appréhender le potentiel d'adoption du territoire pour les technologies de fabrication à petite échelle, l'organisation de collectifs créatifs autour des pratiques open source/open hardware ainsi que leur exploitation pour de la création d'activités. Une étude des mécanismes de coordination et de co-création entre makers est menée. En parallèle l'étude de l'évolution de la propriété industrielle et intellectuelle a couvert la compréhension des modèles d'affaires des fabricants d'imprimantes 3D, incluant l'analyse des formes de propriété intellectuelle mises en oeuvre et leurs conséquences sur le projet. Ces activités d'études complémentaires, menées dans le cadre du MT6, ont pour objectifs de permettre d'identifier, pour FabricAr3v, les modalités de mise en oeuvre d'une stratégie de valorisation de type open source ainsi que les opportunités justifiant le développement d'une technologie d'impression 3D métallique low-cost en open hardware. Mme. Fally a été recrutée en tant qu'assistante de recherche à 100 % sur le projet FabricAr3v à partir du 1er janvier 2021 pour intervenir sur le MT6. Tout au long des semestres qui se sont écoulés, la diffusion du travail de recherche réalisé a été assurée par la rédaction d'articles scientifiques afin d'en valoriser les résultats ainsi que par la participation à des conférences pour échanger avec différents profils présentant un intérêt pour la fabrication additive. Pour ce qui est de l'analyse de l'impact de la diffusion d'une invention disruptive sur l'écosystème d'innovation transfrontalier, base de données des acteurs de la fabrication additive sur la zone a été réalisé.Cette base de données est actualisée au rythme des informations obtenues et a permis de réaliser un premier travail de cartographie ainsi que des graphiques, pour caractériser la fabrication additive sur le territoire étudié. Par ailleurs, grâce à la construction d'un questionnaire focalisé sur les ateliers de fabrication numérique (AFN), Les chercheurs de l'Ulille ont commencé à étudier les perspectives d'évolution du système productif actuel, la place qu'aimeraient y occuper ces acteurs et l'impact qu'aurait une technologie de FAM Low-Cost sur les territoires. Ces travaux ont abouti à la rédaction de deux articles dans la revue en ligne Makery et permettent, en plus des lectures bibliographiques et des participations à des séminaires, la construction d'un premier rapport sur les différents enjeux de la Fabrication Additive Métallique Low-Cost. Grâce à l'intégration de deux nouveaux partenaires associés au 1er juillet 2021, Dagoma et Epeire3D qui sont des industriels de la région Hauts-de-France, le projet compte avec le soutien et l'expertise d'industriels exploitant la même technologie et partageant sa vision de la fabrication additive low cost et Open Source. Toutes les informations relatives au projet, les avancées techniques, réalisations et autres informations concernant le consortium sont disponibles sur le site internet du projet : https://fabricar3v.eu/. Les projet est également visible sur les réseaux sociaux via les compte Youtube et LinkedIn « FabricAr3v |Vers la fabrication additive pour tous ».
Read more Achievements (EN): The FabricAr3v project that started on July 1, 2019 is an INTERREG project aimed at developing a low cost metal 3D printing technology. With a cross-border multidisciplinary consortium, the project addresses a multitude of topics ranging from mechanical engineering to numerical simulation and industrial property. Materalia joined the consortium on 1 January 2020 as Head of Communication. He held his first event with the other partners of the project during the launch day at the Robert Schuman High School in Arlon, Belgium. Materalia worked on the development of the CDG of the website for the project. Always in an effort to give visibility to the project, Materalia has set up social media accounts (Linkedin, Youtube). The company also managed all the topics related to the events prepared as part of the project, namely mailling, ticketing invitations etc... The design of a “low-cost” metal printing machine is well advanced, the prototypes have been improved with “tool change” structures allowing multi-material machining and “hybrid” manufacturing (combined printing and machining within a single machine). The kinematics of the machine is controlled and the results obtained, which have been compared to those of the Pollen M (industrial machine purchased under the project) are encouraging and in some cases better. The first work of CRITT MDTS validated the feasibility of printing zirconia-laden polymers on the free form, combined with the associated delianing and sintering phases. The characterisation of the parts produced made it possible to identify the chemical physico properties of the parts and to compare them with those obtained in PIM. Following preliminary tests, the CRITT had begun modifications on the 3D direct machine to optimise it. However, we have identified a major problem on 3D direct namely a poor design of Archimedes’ screw. This represents a major obstacle to the control of extrusion and thus of the smooth running of impressions from a global point of view. To help future developments within the consortium, Sirris had begun a tehcnological watch which included a description of the process, strengths and weaknesses, a comparison with the technology developed in the project, the mechanical properties commonly encountered in the literature and the various suppliers of metal laser low-cost machine. The CRITT MDTS has carried out preliminary tests of delianisation under air which have shown encouraging results, the objective to be pursued is to find the right compromise between a cheap sintering atmosphere and the mechanical properties of the parts quite similar to those from existing processes. The Pyrox delianting and sintering ovens purchased by Centrale Lille were received, however, damage on the oven prevented further testing that had to be transferred to CRITT. In parallel with the work on “classic” 3d printing, which is already well advanced, the development of process hybridisation (print/machining) continued with the installation of a machining pin directly on the prototype instead of a printing head. Regarding the simulation of the process and characterisation, a bibliographical study conducted by Cenaero on the numerical simulation of the sintering process made it possible to determine the functionalities required for the modelling of the process. These features have been incorporated into the finite element calculation code and have yielded numerical reference results. By comparing the simulations, discrepancies were found and an analysis made it possible to make corrections to the models and data. Although further verifications are envisaged, the model qualitatively gives the right trends, thus allowing a sensitivity study to be carried out. Initial density and transition temperature (parameter of the densification model) are the parameters that have the most impact on densification and withdrawal during sintering. This study also specifies the relative importance of the relevant data (e.g. material parameters, powder particle size, shrinkage) for the calibration and validation phases (i.e. numerical vs. experimental). Simplified approaches, less time-consuming than non-linear transient thermomechanical modelling, are envisaged. These are inspired by methods based on inherent deformations, initially developed for welding, exploiting the results of the non-linear transient model. An initial analysis revealed potential limitations that will have to be overcome. The modelling work is based on Cenaero’s software solution. The exploitation of models and methodologies in third-party software solutions is envisaged. The analysis that had been initiated will have to be continued after the models and methodologies have matured. In the 5th semester, a second bibliographical study was carried out with the objective of extending the model to take into account the anisotropy of deformations (the phenomenon observed by the project partners in the experimental trials) during sintering. The different causes of anisotropy were analysed. A generalisation (taking into account a non-hydrostatic sinter stress) of the model was determined. The purchase of an industrial machine, provided for in the project fiche, ADMAFLEX was carried out at the beginning of the project. This made it possible to establish contacts with Isolectra-Martin, which is a company interested in additive manufacturing. A collaboration with this company and the L2EP gave rise to a thesis This dernière is associated with the project and uses the means developed within the framework of the industrial platform. The purchase of other machines, not provided for in the project file, a 3D pellet printer the Pollen M and a Pyrox thermal delianing and sintering furnace was carried out. Combined with the ADMAFLEX of the Fabricar3v project, these machines strengthen and strongly participate in the implementation of the industrial platform “PIMS”. This platform, labeled by the University of Lille in semester 4, was notably equipped with a 3D printing machine by electro spinning and an operating engineer this semester. The model of a teaching module proposed to Centrale Lille resulted in the modification of an existing module at Lille Central (“Product Specification and Manufacturing”) to complement the objectives of the project. By integrating new concepts of additive manufacturing into the overall process of designing and manufacturing mechanical systems, the modifications made to this module enhance students’ knowledge and interest in these emerging manufacturing processes. The module includes the manufacture and design of a 3D printer by wire deposition. In the context of the study of the evolution of industrial and intellectual property (MT6), the research carried out by UMONS aims to understand the potential for adoption of the territory for small-scale manufacturing technologies, the organisation of creative collectives around open source/open hardware practices as well as their exploitation for the creation of activities. A study of coordination and co-creation mechanisms between makers is carried out. At the same time, the study of the evolution of industrial and intellectual property covered the understanding of the business models of 3D printer manufacturers, including the analysis of the forms of intellectual property implemented and their consequences for the project. These complementary research activities, carried out within the framework of MT6, aim to identify, for FabricAr3v, the methods of implementing an open source valuation strategy as well as the opportunities justifying the development of a low-cost metal 3D printing technology in open hardware. MS Fally was recruited as a 100 % research assistant on the FabricAr3v project from 1 January 2021 to intervene on MT6. Throughout the past semesters, the dissemination of the research work carried out has been ensured by the writing of scientific articles in order to enhance the results as well as by the participation in conferences to exchange with different profiles of interest for additive manufacturing. As regards the analysis of the impact of the diffusion of a disruptive invention on the cross-border innovation ecosystem, the database of the actors of additive manufacturing on the area has been carried out.This database is updated at the pace of the information obtained and enabled the first mapping work and graphs to characterise additive manufacturing in the territory studied. In addition, thanks to the construction of a questionnaire focused on the workshops of digital manufacturing (AFN), researchers from ULille began to study the prospects for the evolution of the current production system, the place that these actors would like to occupy and the impact that a low-cost FAM technology would have on the territories. This work led to the writing of two articles in the online magazine Makery and, in addition to bibliographic readings and participations in seminars, the construction of a first report on the different issues of Metal Additive Manufacturing Low-Cost. Thanks to the integration of two new partners associated on 1 July 2021, Dagoma and Epeire3D who are industrialists in the Hauts-de-France region, the project counts with the support and expertise of industrialists using the same technology and sharing its vision of low cost and Open Source additive manufacturing. All project information, technical progress, achievements and other information concerning the consortium can be found on the project website: https://fabricar3v.eu/ The projects are also visible on social networks via YouTube and LinkedIn accounts “FabricAr3v |Towards additive manufacturing for all”.
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Website: http://www.interreg-fwvl.eu/fr/
Expected Results (FR): Un partenariat durable sera engagé entre les académiques et les entreprises de mnaière à identifier les modèles économiques et de protection industrielle et intellectuelle adaptés pour permettre aux TPE/PME et Fablabs d'accéder à la fabrication additive métallique. La collaboration entre les différents acteurs permettra un échange de compétences productif et qui se poursuivra après la fin du projet. Les établissements de recherche participant à ce projet seront au nombre de sept. Une plateforme pédagogique et de transfert industriel sera créée et sera opérationnelle en 2020.
Read more Expected Results (EN): A sustainable partnership will be established between academics and mining companies to identify the appropriate business and industrial and intellectual property protection models to enable VSEs/SMEs and Fablabs to have access to metal additive manufacturing. Collaboration between the different stakeholders will allow a productive exchange of skills that will continue after the end of the project. Seven research institutions will be participating in this project. An educational and industrial transfer platform will be created and will be operational in 2020.
Read more Expected Results (NL): Er komt een duurzaam partnerschap tussen de academische en de bedrijfswereld om de aangepaste economische modellen, alsook de modellen voor industriële en intellectuele eigendomsbescherming te bepalen om de micro-ondernemingen, kmo’s en FabLabs toegang te bieden tot MAM. De samenwerking tussen de verschillende actoren, die een productieve uitwisseling van competenties mogelijk maakt, zal ook na het eind van het project worden voortgezet. In totaal zullen zeven onderzoeksinstellingen aan dit project deelnemen. Er zal een platform voor pedagogische doeleinden en industriële overdracht worden opgericht, dat in 2020 operationeel zal zijn.
Read more Expected Outputs (FR): La machine "low-cost" réalisée sera accessible par tous et constituera un nouveau produit pour les entreprises. Le principe de développement en OpenSource permettra à n'importe quelle entreprise de produire et améliorer la machine conçue dans le cadre de ce projet tout en évitant les distorsions de concurrence. Les journées thématiques et de sensibilisation aux entreprises pourront créer de nouvelles synergies et créer des liens avec de nouveaux partenaires. La réalisation majeure du projet sera la création de la machine d'impression 3D métallique low-cost pour une cible de 30k euros, le rendant accessible pour les petites structures. Une plateforme pédagogique de transfert industriel sera développée pour permettre un rayonnement des compétences acquises et pourra être utilisée par des étudiants.
Read more Expected Outputs (EN): The low-cost machine produced will be accessible to all and will constitute a new product for companies. The principle of developing in OpenSource will allow any company to produce and improve the machine designed for this project while avoiding distortions of competition. Thematic and business awareness days will serve to create new synergies and foster links with new partners. The major achievement of the project will be the creation of the low-cost 3D metal printing machine for a target of 30k euros, making it accessible for small structures. A pedagogical platform for industrial transfer will be developed to enable a dissemination of skills and may be used by students.
Read more Expected Outputs (NL): De ontwikkelde 'low cost' machine zal voor iedereen toegankelijk zijn en een nieuw product vormen voor de ondernemingen. Het principe van de ontwikkeling in OpenSource zal eender welke onderneming in staat stellen om de in het kader van dit project ontworpen machine te verbeteren zonder concurrentieverstoring. Thematische en sensibiliseringsdagen voor de ondernemingen kunnen nieuwe vormen van synergie scheppen en aanleiding geven tot relaties met nieuwe partners. De belangrijkste verwezenlijking van het project zal de creatie van de low cost machine voor het 3D printen van metaal zijn, die met een streefprijs van € 30k ook voor kleine structuren betaalbaar is. Er zal een pedagogisch platform voor industriële overdracht worden gecreëerd met het oog op de verspreiding van de verworven competenties en gebruik door studenten.
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